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7 Belges sur 10 adoptent la recherche générative, mais la confiance reste à construire.
67% des personnes interrogées — soit près de 7 Belges sur 10 — déclarent utiliser l’intelligence artificielle générative au moins occasionnellement dans leurs recherches en ligne. C’est ce que révèle la première étude belge sur les comportements de recherche “Les Belges à l’ère de l’IA générative”, menée par Semactic, en collaboration avec PingPrime.ai et réalisée par IntoTheMinds.
Ces chiffres témoignent d’une société en pleine mutation : les usages se diversifient, les comportements évoluent vite, mais la confiance demeure un fil conducteur essentiel.
Une révolution des usages, mais pas des réflexes
L’intelligence artificielle s’invite dans les gestes du quotidien, sans effacer les habitudes bien ancrées.
D’après l’étude, les utilisateurs d’IA générative s’en servent principalement pour s’informer (68%), obtenir des conseils pratiques (53%) ou apprendre (39%).
Les jeunes générations (25 - 34 ans) restent les plus actives dans l’adoption de ces nouveaux outils, tandis que les 55 ans et plus continuent de privilégier les moteurs de recherche traditionnels.
Derrière ces tendances se dessine une fracture générationnelle nette : les jeunes multiplient les portes d’entrée vers l’information — réseaux sociaux, plateformes vidéo, contenus conversationnels — tandis que les plus âgés restent fidèles aux sources institutionnelles comme Google ou Wikipédia.
Les points d’entrée se diversifient rapidement : une majorité de Belges s’informent via les réseaux sociaux (au sens large), un nombre croissant via les plateformes vidéo, et une part significative interagit avec des communautés en ligne — surtout chez les 25-34 ans.
“Cette fragmentation reflète un véritable changement culturel : la recherche n’est plus linéaire, mais multiple, contextuelle et conversationnelle.” — Céline Naveau, cofondatrice de Semactic
La recherche devient plurielle et conversationnelle
Les moteurs de recherche restent dominants (80% d’usage), mais les réseaux sociaux, la vidéo et les assistants d’IA gagnent rapidement du terrain.
Près de 3 internautes belges sur 4 déclarent formuler leurs recherches en langage naturel : soit uniquement en phrases complètes (37%), soit en alternant mots-clés et phrases complètes selon le contexte (38%).
Cette évolution confirme que la recherche devient plus conversationnelle, plus naturelle et plus proche du langage parlé.
Près de 4 internautes sur 10 utilisent également des requêtes sous forme de phrases complètes dans une logique dialoguée, et 1 sur 2 se tourne vers la recherche vocale — surtout à la maison ou pour aller plus vite.
Autrement dit : on ne cherche plus seulement où trouver une réponse, mais comment la formuler et avec qui la co-construire.
La commodité avant tout
Près de 4 Belges sur 10 reconnaissent que l’IA influence leurs décisions - parfois sans en avoir pleinement conscience - et pour 36% d’entre eux, cette influence s’est déjà traduite par au moins un achat basé uniquement sur une recommandation générée par IA.
Ce qui guide les usages de l’IA, ce n’est pas la véracité brute, mais la fluidité. Les utilisateurs valorisent avant tout la clarté (53%), la pertinence (46%) et la rapidité (45%), tandis que l’exactitude n’arrive qu’en cinquième position (43%).
Si 69% des répondants déclarent faire confiance aux réponses générées par l’IA - de manière modérée à élevée - cette confiance reste prudente : beaucoup reconnaissent ne pas toujours vérifier l’origine ou la qualité des contenus proposés.
Pour autant, les utilisateurs belges veulent garder la main : près de deux sur trois refusent encore de déléguer une décision importante à une IA.
“Les Belges reconnaissent que l’IA n’est pas infaillible, mais ils y vont quand même. Ce n’est pas de la naïveté : c’est du pragmatisme.” — Céline Naveau, cofondatrice de Semactic
L’efficacité avant la vérification
Pour la majorité, l’IA est avant tout un outil d’efficacité. Le gain de temps reste la motivation principale, suivie de la clarté des réponses et de la pertinence immédiate.
Mais cette efficacité a un revers : une part importante des utilisateurs se contente des réponses fournies sans vérifier systématiquement les sources. Les jeunes générations adoptent massivement les formats synthétiques — comme les résumés IA intégrés aux résultats — mais ne les remettent pas toujours en question.
“L’IA n’est pas jugée sur la vérité, mais sur la fluidité de l’expérience.” — Sabrina Bulteau, cofondatrice de PingPrime.ai
L’IA au travail : entre productivité et apprentissage
Côté entreprises, une large majorité de professionnels belges déclare utiliser l’IA au quotidien.
Les usages les plus fréquents : traduction (49%), recherche et synthèse d’informations (46%), rédaction (39%) et automatisation de tâches (36%).
Mais les freins persistent : confidentialité (37%), fiabilité (35%) et manque de formation (27%).
“L’enjeu n’est plus d’adopter l’IA, mais d’apprendre à s’en servir avec discernement et méthode.” — Olivier de Decker, cofondateur de PingPrime.ai
Vers une nouvelle ère de visibilité : du SEO au GEO
L’étude met en évidence un changement de paradigme : les internautes cliquent moins, mais conversent davantage. Les entreprises doivent donc apprendre à être comprises, citées et relayées par les intelligences artificielles.
C’est le cœur du concept de Generative Experience Optimization (GEO) qui consiste à optimiser sa présence en ligne pour se démarquer dans les moteurs pilotés par l’IA comme ChatGPT, Perplexity mais aussi l’AI mode
“La bataille ne se joue plus uniquement sur la première page de Google, mais dans les réponses générées par l’IA, qu’elles viennent de Google ou de ChatGPT.” — Kevin Coppens, cofondateur de Semactic
Entre curiosité et prudence : une confiance à consolider
Les Belges se situent dans un entre-deux fascinant : la curiosité pousse à utiliser l’IA, mais la prudence impose une forme de vigilance.
L’étude révèle un équilibre subtil entre autonomie et recul critique. L’IA facilite les choix (+ autonomie, + rapidité, + accessibilité), mais peut réduire la vérification systématique.
“La confiance progresse… mais l’esprit critique doit suivre.” — Sabrina Bulteau, cofondatrice de PingPrime.ai
Conclusion : apprendre à penser avec l’IA
L’IA générative est désormais entrée dans nos vies — dans nos recherches, nos décisions et notre travail. Elle change le rythme de notre pensée, plus que son essence.
“L’IA ne remplace pas le jugement humain : elle en accélère le tempo.” — Céline Naveau, Semactic
“Les Belges à l’ère de l’IA générative” en chiffres
● 80% utilisent régulièrement les moteurs de recherche
● Une majorité s’informe via réseaux sociaux ou formats vidéo
● 67% utilisent l’IA générative au moins occasionnellement
● 61% remarquent les résumés de type IA Overviews
● 36% ont déjà pris au moins une décision d’achat basée sur une recommandation IA
● 53% critère n°1 : clarté
● 45% rapidité et compréhension
● 43% exactitude factuelle (5ᵉ critère)
À propos de l’étude ‘Les Belges à l’ère de l’IA générative’
Réalisée en 2025 par le cabinet IntoTheMinds - cabinet spécialisé dans les études marketing et l’analyse comportementale -, à la demande de Semactic et PingPrime.ai, l’étude repose sur un double échantillon représentatif : 1 002 répondants belges âgés de 18 à 65 ans, interrogés en ligne selon la méthode des quotas (sexe, âge, région, niveau d’éducation). 312 professionnels issus d’entreprises de toutes tailles (TPE, PME, grands comptes), actifs dans le marketing, la communication, les ventes, la formation et le management. Marges d’erreur : ±3 % pour le grand public, ±5 % pour l’échantillon professionnel.
Céline est cofondatrice de Semactic, la plateforme de référence en SEO activation et pionnière du GEO (Generative Engine Optimization) en Europe. Experte du SEO depuis plus de 10 ans, elle combine une solide expérience de consultante — notamment pour des sites e-commerce et média à fort trafic — avec une vision tournée vers l’avenir du search. Avant Semactic, Céline a dirigé une équipe d'experts en search marketing, social ads et analytics au sein d’une agence digitale de premier plan en Belgique. Elle a également occupé des rôles clés en marketing et gestion de projets dans des entreprises nationales et internationales. Aujourd’hui, elle œuvre à faire émerger une nouvelle génération de stratégies de visibilité organique, où SEO et GEO convergent pour offrir un pilotage unifié, plus stratégique et orienté résultats.
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