Après plusieurs mois de travail intensif, notre start-up Semactic et son site tout neuf sont prêts à accueillir nos premiers clients. Mais qui se cache derrière Semactic et comment est née cette idée de logiciel SEO ?

 

Deux passionnés de digital

Avant de fonder Semactic, nous travaillions depuis près de 4 ans pour une agence de marketing digital bien connue. C’est là que Kevin et moi nous sommes rencontrés et avons tout de suite apprécié de collaborer ensemble sur les projets. 

J’ai pour ma part un background en communication marketing et m’intéresse particulièrement à l’inbound marketing et au SEO. 

Kevin, quant à lui, s’est spécialisé en web analytics mais très avide d’apprendre, il a rapidement acquis une expertise avancée en online advertising et SEO également. 

Discussions autour d’un verre

Tout part d’un outil, découvert par Kevin, qui permet d’optimiser son contenu directement dans un navigateur web, avec des suggestions de mots-clés porteurs.  Il m’en parle, je trouve l’idée sympa et on commence à se demander s’il y aurait un intérêt à développer ce type d’outil en Belgique.

Rapidement, on s’aperçoit que le concept est trop limité mais ça déclenche plein d’autres idées. C’est l’automne, il fait encore beau, alors on décide d’en parler en terrasse autour d’un verre.

On prend vite l’habitude de se retrouver chaque mardi, après le boulot, pour développer l’idée, réfléchir aux enjeux du digital, aux besoins des entreprises, et à la meilleure façon d’y répondre.

En novembre, on s’inscrit au Start-up weekend Big Data organisé à Bruxelles, un peu sur un coup de tête mais avec l’envie de confronter notre idée à d’autres points de vue.

Startup weekend: l’impulsion

Début décembre 2019, durant 54h (c’est le concept des startup weekends), on joue le jeu avec Semactic, le nom qu’on a choisi pour notre projet. Lean canvas, business plan, pitch et premier design de l’interface, nous voilà projetés dans le monde des start-ups. L’idée séduit le jury, nous remportons l’édition bruxelloise que nous quittons remplis de motivation pour nous lancer dans l’entreprenariat.

C’est décidé, cette start-up verra le jour. Mais pour cela, il nous faut plus de temps…

Fin janvier, non sans un gros pincement au cœur, on choisit de quitter notre fonction à l’agence pour se consacrer pleinement à Semactic.

Entreprendre sur fond de crise sanitaire

En mars, l’aventure s’accélère. Nous sommes quasiment à plein temps sur le projet et mettons toute notre énergie sur le développement. Kevin se concentre sur le back-end, Céline sur l’interface. Mais en pratique, ce sont des échanges permanents. On se partage entre nos villes respectives : Nivelles et Gembloux.

13 mars, le lockdown s’impose à tous. Nous stoppons nos allées et venues, la sécurité d’abord.

Mais le travail, lui, s’intensifie ! Le développement se poursuit à distance avec l’aide de développeurs freelances. Kevin, qui s’est auto-formé au codage depuis le plus jeune âge, coordonne tout cela de main de maitre, ce qui nous fait gagner pas mal de temps et d’argent. De mon côté, j’active ma fibre « sales » pour prendre le pouls du marché et demander du feedback aux experts.

Mais le contact reste permanent. Via Slack, Teams ou Hangouts, on communique chaque jour à distance. Dans un contexte de crise économique qui s’annonce, notre objectif reste le même : amener un maximum de valeur ajoutée au concept.

La digitalisation, encore plus cruciale aujourd’hui

Personne ne sait à quoi ressemblera le « monde d’après » dont on entend tant parler. Mais la digitalisation, qui fut au cœur de tous les débats durant le confinement, restera un enjeu majeur dans les mois à venir, nous en sommes persuadés.  J’ai vu mes proches les plus éloignés d’Internet se mettre en un temps record aux réseaux sociaux et plateformes de vidéo-conférence. Du côté des entreprises aussi, le mouvement s’est accéléré pour garder le contact avec les clients à distance. C’est une bonne chose. Car il est temps désormais de combler l’écart qui reste important entre le monde de l’entreprise et nos attentes à tous, en tant que consommateurs et citoyens.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des solutions pour y arriver. Et Semactic ambitionne d’y figurer en bonne place…

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